Vous êtes maintenant prêt pour la pratique. Abordons le SEO ontext (optimisation de vos contenus), c’est-à -dire tout ce qu’un rédacteur web peut faire sur une page de site afin qu’elle réponde aux critères d’évaluation du moteur de recherche sur le référencement naturel.
Un cours d’Alexia Peyterou
Le SEO ontext, ça marche, c’est prouvé. Cependant ce n’est pas une méthode miraculeuse, et celui qui la vend ainsi est un menteur (ou alors il n’y connaît absolument rien, c’est possible aussi). Si l’architecture du site n’est pas bien construite et si aucune stratégie de SEO offsite n’est mise en place, travailler sur le contenu ne changera pas grand-chose à la choucroute.
Car le SEO ontext ne rassemble qu’une cinquantaine de critères parmi les 200 qui permettent à Google d’indexer et de référencer une page. Il va par exemple étudier la réputation, la rapidité, la lisibilité, le parcours des visiteurs, le temps de navigation, etc. Le contenu rassemble probablement une centaine des critères de notation du moteur de recherche, mais pas les plus puissants : il représente au total 25 à 30 % de l’effet SEO sur un site. À la louche.
Les techniques de référencement que nous allons voir dans cette partie sont destinées à Google et servent à lui faciliter la lecture d’une page. Oui, car le moteur de recherche ne sait pas lire, c’est un robot. Il va donc falloir lui donner tous les indices qu’il cherche afin de l’aider à comprendre le texte.
Cependant, n’oubliez pas que vous écrivez d’abord pour des humains, de vraies personnes qui vont vous lire. Rédigez d’abord pour les satisfaire. Google n’est qu’un moyen de les amener à venir sur un site. Il s’en fiche de ce que vous racontez. Les humains, non.
D’ailleurs, la satisfaction des internautes est un critère très important pour le moteur de recherche. Car son objectif est de répondre aux questions des internautes, n’est-ce pas ? Si votre site est une bonne réponse, Google vous fera gagner, avec le temps, des positions comme dans un jeu vidéo.
Prêt ? On entre dans le vif du sujet.